20 juin 2013

Plouf plouf plouf

L'année dernière, j'avais résisté à son appel car encore une fois, le livre est sorti en période d'examen... Bon j'avoue le mondial m'avait bien aidé à résister aussi! Mais à voir le septième tome sortir, je n'ai pas pu résister. Examen ou pas, il fallait que je rattrape mon retard!
 

Comme toujours, l'auteure m'entraîne dans un polar avec de l'humour et de l'amour. Mais j'ai tout de même trouvé ce tome plus glauque que les autres, de par le mystère résolu à la fin, mais aussi par tout ce qu'il se passe autour du couple. Pas grand chose en soi, mais on sent que ce n'est pas normal. Ce qui débouche sur une fin en tension, et là je suis heureuse de ne pas avoîr dû attendre une année pour le lire!!
Un tome qui se lit aussi rapidement que les autres, toujours aussi fluide etré les quelques dizaines de pages du début où il faut toujours se familiariser avec les nouveaux personnages.
Encore une fois donc, un grand moment de plaisir avec cette auteure, et je m'en vais rapidement dévoré le tome suivant je pense!
 

 Fjallbacka
 

1 juin 2013

Court comme un coup

Encore un mot, un mot nouveau, un mot tout chaud, qui m'a fait sortir un petit livre de ma bibliothèque, depuis longtemps caché derrière les autres. C'était la couverture qui m'avait intrigué.
 

Un petit récit touchant, écrit par la fille du juge Boulouque, qui était juge anti-terroriste en 85, et qui s'est suicidé. Donc comment elle a tenté de vivre avec ce suicide dans sa vie d'enfant, et égalemenet comment le métier de son père a touché son enfance. Des bribes de souvenirs, des tentatives pour comprendre, un temps fragmenté, comme une enfant.
Ce n'est pas l'histoire du juge, mais l'histoire du père absent. Dans un style simple, on tente d'imaginer ce qu'elle a bien pu ressentir. On reste pas mal dans les faits, justement ces tentatives de souvenirs. Des images qui vont et viennent. Un bon moment malgré la dureté du sujet.