25 février 2011

Ah si seulement…

Pas mal de retard ces derniers temps, mais pas mal d’idée dans la tête. Alors autant en déposer quelques unes Sourire Commençons dans l’ordre. D’abord, la découverte d’un livre :


Quand je l’ai acheté, je dois avouer que je ne m’attendais pas du tout à cela. Je croyais avoir un roman policier entre les mains, et pas à grand chose de plus. Alors au départ, tout commence bien, je suis servie! Moi qui n’aime pas les romans policier, on assiste à trois accidents mystérieux. Tout est là : le suspens de ne pas savoir qui attaque, ni pourquoi. On assiste au dépôt de plainte, puis l’histoire qui lie ces trois personnes : la librairie “Au bon roman”. Tout au long de l’histoire, on apprend la construction de la librairie, comment et pourquoi se projet est monté. Et à l’ouverture de la librairie, une seule question se pose: “mais pourquoi une librairie pareille n’existe pas?”
L’impression que ce que je pense est mis en mot, c’est rare! Ce livre m’a fait me poser beaucoup de question sur ma consommation de livre : pourquoi j’achète ce livre et pas un autre en ne sachant pas si je vais l’apprécier ou non?” Eh bien certains, c’est vrai, c’est grâce à la publicité, au grand battage médiatique qui se fait autour d’un livre. Pourquoi lire le Da Vinci code? Parce qu’on en parle. Et pourtant, le résumé ne me tentait pas. Et bien j’ai eu l’impression de perdre mon temps. Enfin bref, tout ça pour dire que la grande consommation de masse atteint aussi le livre. Il n’y a qu’à voir les petites librairies qui disparaissent, englouties par les FNAC et autres…Pas de conseil, les gens ne savent pas ou ne connaissent pas la moitié des livres, alors que dans les petites, on peut demander un conseil sans passer pour un fou car on ne sait pas quoi lire…
Enfin bref, là n’est pas le débat. Enfin oui, c’est le sujet de livre. Lire pour lire ou lire bien?
Sinon, le récit tient en haleine d’un bout à l’autre grâce à une seule question : “mais qui écrit?” oui bon aussi car on aimerait savoir qui sont les assassins mais en soit, ce n’est pas le sujet principal. La librairie prend très vite de l’ampleur, et ce n’est pas plus mal. Les personnages sont attachants, et on ne peut pas sortir de ce roman indifférent.
Donc en résumé, “Au bon roman” mériterait d’avoir une place “Au bon roman”!

2 février 2011

Pas bien ça!!!

A la place de réviser mes examens, j’ai eu la bonne idée de faire un petit tour par Payot, THE librairie. Oui oui, bien mieux que la FNAC! Et voilà sur quoi mes yeux dévoreurs de livre sont tombés :



Pas très bonne idée en effet… 5ème tome de la série de Camilla Läckberg, me voici repartie en Suède, à Fjällbacka (ou un truc comme ca…) et je ne fus en rien déçue!
Encore une fois, une intrigue bien menée, des personnages qui grandissent mais qui restent familiers, des grandes découvertes, et surtout : le suspens reste entier jusqu’au bout!! et quelle fin!! a aucun moment je n’ai trouvé la solution, même si quelques petits trucs sont devinables, ça n’enlève rien à la chute!
Je n’ose pas faire de résumer de peur de trop dévoiler, mais franchement, ça en vaut grandement la peine! En plus, une nouveauté par rapport aux précédents : la vision historique de la deuxième guerre mondiale. Je n’avais jamais entendu parler des retombées sur les pays scandinaves, et je dois avouer que j’ai appris quelques nouvelles informations. Mais je n’en dévoilerais rien!
Comme d’habitude, un très bon moment, une belle écriture qui ne donne pas envie de décrocher, et une envie d’arriver à la fin le plus vite possible, mais le plus lentement possible car après, il est difficile de trouver un roman qui lui arrive à la cheville… vivement le suivant!!
Bon je retourne quand même tenter de réviser…